En 2016, le lycée professionnel Bernard-Chochoy s’est inscrit dans la démarche E3D – traduisez par établissement en démarche globale de développement durable – faisant ainsi partie des neuf établissements de la région Hauts-de-France à avoir été retenu.
Nadine Tomassoni collecte le plastique non recyclable pour le faire recycler. Elle est adhérente à Terracycle, leader mondial qui traite « tous ces déchets dont on nous laisse croire qu’ils ne sont pas recyclables. C’est juste économiquement qu’ils ne le sont pas. »
La caravane des scouts et guides de France du groupe Saint-Martin de Conflans-Jarny met en œuvre au quotidien des actions dans l’objectif d’« Habiter autrement la planète ». Un précepte dont ils ont fait leur devise.
Terracycle
Depuis 2015, nous participons au programme de recyclage des stylos, feutres, correcteurs… avec notre partenaire Terracycle. Si le retour financier reste symbolique (1 centime d’euro par stylo), l’intérêt pédagogique est indéniable. Des collecteurs sont en accès libre dans le couloir de l’école (rez de chaussée, au niveau de l’ascenseur).
Vous voulez créer un point de collecte sur votre lieu de travail ? Téléchargez et imprimez l’affichage
ici.
TerraCycle crée des programmes de collecte de déchets pour recycler certains types de déchets, auparavant non ou difficilement recyclables car en quantité diffuse. Les déchets collectés sont transformés en nouveaux produits, comme par exemple, des sacs à dos, des arrosoirs ou des bancs publics recyclés. |
Une borne de recyclage a été inaugurée mercredi dernier, dans la cour de l'ancien tribunal, par l'association Solidago, épicerie solidaire. Elle permet de collecter les gourdes de compote et les stylos usagés. « Depuis trois ans, Solidago collecte stylos et gourdes, qu'elle envoie ensuite vers TerraCycle, qui transforme ces matériaux. En contrepartie, l'association reçoit l'équivalent d'un mois de denrées alimentaires pour ses bénéficiaires », expliquent ses responsables. En partenariat avec le Symctom, l'association a installé la borne, réalisée et offerte par les ateliers d'Idées en Brenne, Ose Recyclage. Les panneaux explicatifs attenants ont été conçus et donnés par Créa Pub, de Béthines (Vienne). Un partenariat avec les écoles locales est en projet pour instaurer ce type de collecte dans les établissements.
Eléa Lizée lors de la remise de la collecte de stylos usagés à la Société Protectrice des Animaux, mardi après-midi. |
Tous les ans, les élèves du collège Jean-Jaurès participent à plusieurs initiatives solidaires. Cette année, c'est leur récolte de stylos qui aidera la SPA.
Depuis 2013, Brest métropole s'adresse à des entreprises, des écoles pour récupérer des « instruments d'écriture » afin de les faire recycler. Ils deviendront de la matière première pour l'industrie. C'est un travail qui se fait avec l'entreprise Terracycle, basée en Lozère.
À ce jour, 140 points de collecte existent. L'école du Champ de Foire en est un. Un jour de ramassage a eu lieu vendredi. Un chèque de 150 € a récompensé le dynamisme des enfants et leur geste écoresponsable. Comme l'a précisé Sandrine Arzel, responsable à Brest métropole, 180 kg sont collectés chaque semestre et ce n'est qu'un début.
Pour la seconde année, l'association de parents d'élèves Tress Allier de l'école de Monétay et le corps enseignant s'est mobilisé en faveur du recyclage. Grâce à l'argent collecté, l'association peut financer des ateliers et des sorties qui bénéficient directement aux enfants.
En 2013, Brest métropole s'est associée à l'entreprise Terracycle pour recycler les instruments d'écriture usagés et les transformer en matière première destinée à l'industrie sous forme de granulés. Sur les 140 points de collecte existants qui recueillent 180 kg par semestre, il en existe deux dans la commune : l'un à la mairie et l'autre à l'école du Champ de Foire. L'entreprise reverse 10 € environ par kilo à la métropole, qui remet ensuite un chèque à une association ou à un groupe scolaire particulièrement dynamique distingué chaque semestre. Les enfants de l'école du Champ de Foire se sont si bien emparés du projet et s'y sont tellement investis qu'ils ont été retenus pour la deuxième fois. L'école a ainsi reçu, vendredi, des mains de Sandrine Arzel, chargée du projet pour Brest métropole, un joli chèque de 150 €