TERRACYCLE NEWS

ELIMINATING THE IDEA OF WASTE®

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Responsabilidad social

RESPONSABILIDAD SOCIAL CORPORATIVA: En el semestre pasado, varias escuelas del país se beneficiaron de donativos recaudados de los programas de reciclaje de envolturas de botanas, galletas, jabones y productos de cuidado bucal de TerraCycle. Les entregaron un donativo en efectivo para mejoras en sus instalaciones. poderydinero.mx vsb@poderydinero.mx @vsanchezbanos

École. Récupération de bouchons et crayons

De plus en plus d'associations interviennent pour sensibiliser la population au recyclage. Armorécup est de celles-là. L'association loperhétoise a décidé de s'adresser aux scolaires. Après avoir initié des actions à Loperhet, Erwan Beaugendre, l'un des responsables, a choisi d'intervenir à l'école publique de Saint-Urbain. « L'idée, présentée en septembre, nous a tout de suite paru très intéressante. Car c'est dès le plus jeune âge que les bons gestes et réflexes doivent s'apprendre », indique Daniel Gourmelon, directeur de l'établissement. Vendredi, une borne Bic-Terracycle a été remise aux CE1. Elle incitera de façon encore un peu plus ludique la collecte. « On va aussi convaincre nos parents de le faire », poursuivent les enfants. Conscients de la nécessité de protéger l'environnement Dans le viseur d'Armorécup figure, cette fois, non pas du papier et encore moins des boîtes de conserve ou des emballages, mais les crayons usagés. Les enfants ont déjà le bon geste. Ils trouvent cela « marrant » et prennent surtout conscience de l'intérêt de le faire pour protéger l'environnement. Maintenant, les cartouches d'imprimante vides et les bouchons en plastique sont aussi récupérés. Ils iront vers Bouchons d'amour. Créée en 2001 par Jean-Marie Bigard, l'association collecte les bouchons qu'elle revend ensuite pour financer, entre autres, du matériel pour des personnes en situation de handicap. Séquences vidéo à l'appui, la classe de CE1 est maintenant bien sensibilisée et travaille sur le sujet en éducation civique.

SOLIDARITE – Vos stylos usagés peuvent aider la recherche !

Pour la seconde année consécutive, la ville de Boulogne-sur-Mer s’associe à l’Association Neurofibromatoses Recklinghausen pour réaliser une grande collecte de stylos et matériels usagés afin de lutter contre les neurofibromatoses, maladies génétiques infantiles peu connues. Il existe plusieurs types de neurofibromatoses. La première et la plus courante (1 bébé sur 3000 à 3500 est concerné) est une maladie génétique qui touche le système nerveux. Elle se caractérise par l’apparition de taches « café au lait » sur la peau des nourrissons et entraîne des déformations corporelles, des taches brunes sur l’iris mais aussi des tumeurs sur le nerf optique. La seconde, beaucoup plus rare (1 cas pour 40 000 naissances) comporte presque toujours une atteinte des nerfs qui relie l’oreille au cerveau et entraîne des difficultés auditives. D’autres tumeurs peuvent apparaître sur d’autres parties du corps. Pour lutter contre ces maladies, la recherche progresse mais les besoins restent immenses. C’est pourquoi la ville de Boulogne-sur-Mer s’associe à l’Association Neurofibromatoses Recklinghausen (ANR) pour sensibiliser les Boulonnais, notamment dans les écoles, et récolter des fonds. Ainsi, chaque école maternelle et primaire mais aussi les collèges et les lycées de la ville sont désormais équipés de boites pour collecter les stylos et matériels usagers (stylos à billes, feutres, porte-mines, correcteurs, marqueurs, effaceurs et surligneurs de toutes marques et toutes les matières (plastique, métal…)). Ces stylos sont ensuite recyclés et transformés en billes par l’entreprise Terracycle qui leur redonnera vie sous forme de bancs et de tables en plastique. En échange, la société reverse 0.01€ par matériel récupéré. Lancée à l’échelle nationale, cette action a permis de récolter 3123€ en 2017 avant d’être reconduite pour l’année scolaire 2017-2018. L’ensemble des Boulonnais peuvent se joindre à ce geste solidaire en déposant leurs stylos usagers dans le hall de l’Hôtel de Ville ainsi qu’au centre hospitalier Duchenne.

Le recyclage est l'affaire de tous

Les sapeurs-pompiers de l'Ariège ont mis en place le recyclage des gourdes de compote avec un objectif environnemental mais aussi social. En effet, la société Terra Cycle, qui récupère les gourdes, reversera, en fonction du poids, un don à l'œuvre des Pupilles orphelins des sapeurs-pompiers de France, œuvre qui organise des vacances, aide au financement des études et accompagne les jeunes jusqu'à l'âge adulte. En 2017, une dizaine d'orphelins sont venus passer une semaine à Saverdun et ont pu découvrir ainsi l'Ariège. Les pompiers volontaires du centre de secours local participent à l'opération recyclage en partenariat avec le Claé, les écoles maternelle et élémentaire et le relais d'assistantes maternelles de la ville, mais aussi avec les écoles du RPI (Canté, Lissac, Saint-Quirc) et Montaut. Un travail préparatoire de sensibilisation a été fait en amont par les éducateurs et les maîtres auprès des élèves, qui ont confectionné des récupérateurs de gourdes aussi originaux qu'artistiques.

Les mégots : un fléau pour l'environnement, un défi à relever

Chaque minute, dans le monde, huit millions de mégots sont jetés ! Rien qu'à Paris, les agents municipaux ramassent annuellement près de 350 tonnes de mégots. Surfrider, une association dédiée à la préservation des océans, a ainsi ramassé près de 15 000 mégots en moins d'une heure à Paris autour du Canal de L'Ourcq. Ces mégots, ils jonchent nos trottoirs, nos rues, l'espace public. Outre le coût élevé du ramassage et du traitement de ces déchets, ils sont une cause non négligeable de pollution. Les filtres contiennent, par exemple, des substances nocives qui se libèrent dans les réseaux d'assainissement des eaux, non équipés pour les traiter. Nicotine, phénols et autres métaux lourds se répandent dans les eaux des stations d'épuration. Or, on estime qu'un seul mégot peut polluer 500 litres d'eau. Pis encore, cette pollution est durable, puisqu'un mégot peut mettre jusqu'à 12 ans pour se dégrader totalement. Face à un tel défi, pour l'heure, ce sont les collectivités territoriales qui réagissent, alors que les tentatives législatives ont toutes échoué jusqu'à présent. La première a été la Mairie de Paris, fin 2015, qui a adopté une politique de répression renforcée. Jeter un mégot sur la voie publique est, depuis lors, passible d'une amende de 68 euros. Après une phase plutôt marquée par l'information et la pédagogie, en 2017, ce sont 21 000 procès-verbaux qui ont été dressés à Paris. L'idée sous-jacente est naturellement de faire évoluer les mentalités et les comportements, en utilisant la dimension préventive de la répression. C'est désormais Lille qui se lance dans le même combat après une année de sensibilisation. La ville du Nord ramasse, en effet, 18 tonnes de mégots chaque année, qui non seulement polluent l'environnement mais aussi constituent une véritable pollution visuelle dégradant l'image de la ville. Bordeaux a quant à elle lancé l'objectif « Quartier zéro mégot », en partenariat avec l'association « ecomegot » qui explique avoir déjà collecté près d'un million de mégots. Outre cette problématique des dommages causés dans les aires urbaines, il ne faut pas oublier que le mégot jeté en pleine nature est également un véritable fléau : première cause d'incendie, principal polluant des océans mais aussi des montagnes ! Chaque année, sous les piliers de télésièges de stations de ski, les mégots s'accumulent, polluent la neige et, en fondant, polluent les nappes phréatiques. Le travail de sensibilisation doit être accentué pour faire prendre conscience aux populations des conséquences de ce geste devenu banal pour beaucoup. Mais lorsque l'on voit que certains « youtubeurs », ces nouveaux « princes de la jeunesse », expliquent que jeter un mégot est un geste classe, on perçoit le long effort à mener. Il faut aussi concevoir des solutions spécifiques pour recycler et traiter ces déchets car les mégots, chargés de substances toxiques, sont des polluants sensibles qui ne peuvent pas être traités comme de simples ordures ménagères. Une association comme ecomegot, par exemple, collecte à partir de bornes disposées dans des entreprises, plages ou rues, les mégots et les valorise en matière plastique. Les organismes recyclant les mégots se multiplient comme me-go, terracycle, greenminded... De l'autre côté de l'Atlantique, Un jeune californien a, dans le même esprit, crée une planche de surf avec 10 000 mégots de cigarettes. Ce positionnement « vert » représente un véritable marché, sur lequel des acteurs économiques peuvent également se positionner. Les initiatives des communes, des associations, des particuliers, des acteurs économiques émergent. Pour qu'elles atteignent la dimension suffisante, à la hauteur de l'enjeu, les pouvoirs publics doivent s'investir sur ce dossier essentiel.

Une association récupère les stylos usagés pour aider la recherche sur les neurofibromatoses

Clo Obert a le sourire. Il y a quelques mois, cette adhérente de l’association ANR a lancé l’idée d’une collecte de stylos usagés afin de recueillir des fonds pour aider la recherche sur les neurofibromatoses. Avec le soutien du maire de Boulogne et de Géry Quenesson, inspecteur de l’Éducation Nationale, des petites boîtes ont été installées à la mairie et dans les établissements scolaires de l’agglomération. Au total, quelque 80 kilos de stylos et autres outils d’écriture ont été récupérés. Ils vont être acheminés vers l’entreprise Terracycle qui les transformera en petites billes qui revivront sous la forme de bancs et tables en plastique. En échange, l’entreprise reversera à l’ANR 0,01 € par instrument récupéré. Dans l’idée que...

Au lycée, « c’est grave de gaspiller autant de feuilles »

REPORTAGE – Le rendez-vous est pris au lycée, à La Courneuve. En cette fin de journée de janvier, je retrouve Ryem, le prof de SVT et référent Développement durable, alias « Monsieur DD », à Jacques Brel. Il réunit ses éco-délégués motivés pour parler du tri des déchets dans l’établissement, qui va commencer à se faire, petit à petit. Il est 17h et il reste encore une heure de cours avant la fin de journée. Les élèves quittent une salle pour en rejoindre une autre, souvent en passant par le hall d’entrée de l’établissement. Sur un écran, tout près de l’entrée principale, une vidéo tourne en boucle depuis ce matin. Un petit clip de pédagogie, réalisé par des jeunes en seconde – youtubeurs durant leur temps libre – qui montre dans quelle poubelle il convient de jeter les mouchoirs usagés. « Le film est programmé jusqu’au mois d’avril, cela laisse du temps aux personnes de s’habituer et d’opter pour le bon bac », m’explique Ryem, le prof de SVT que je suis régulièrement depuis la rentrée. Vous en êtes à l’épisode 3 de la série « Monsieur DD du lycée de La Courneuve » L’épisode 1 : Le Monsieur DD du lycée de La Courneuve L’épisode 2 : Entre maths et sport, les élèves ont développement durable Hamedy, en première, l’a déjà vu passer, il la trouve chouette. « Beaucoup ne savent jamais comment faire, ils n’arrêtent pas de me demander… » Lui, plus rien ne lui échappe. Le jeune homme fait partie des éco-délégués de Ryem, choisi pour sensibiliser ses camarades à la chose verte et au tri. Ce soir-là, ces derniers, ravis de pouvoir « faire quelque chose pour le lycée », se retrouvent après les cours, afin d’échanger sur le plan de bataille à mettre en place pour imposer le tri au lycée. Les éco-délégués sensibilisent leurs camarades à la chose verte Les éco-délégués, ravis de briller hors des cours, aiment « faire quelque chose pour le lycée » Cadeau au lycée : les bacs à tri jaunes Il y a quelques semaines, ils avaient déposé, dans chaque salle de classe, une corbeille jaune pour les déchets recyclables. Mais, jusqu’à présent, tout le contenu jeté, en majorité des copies et des brouillons, était déversé dans le même bac à ordures et, au final, mélangé avec le non-recyclable. Or, depuis peu, la collectivité Plaine Commune, en charge du ramassage dans le lycée, a mis à disposition des conteneurs bleust afin que l’établissement valorise tout ce qui est recyclable. Et pour y parvenir, Ryem a aussi poussé pour que le lycée se procure trois grands bacs à tri jaunes, et ils sont arrivés le jour de ma visite au bahut. Durant la réunion avec les éco-délégués, Ryem leur explique qu’un premier ira en salle des profs et un autre en permanence. Et le troisième ? Sam, un des éco-délégués, se demande s’ils ne peuvent pas le réserver à l’espace en extérieur. « Pas sûr que la poubelle jaune serve dans la cour. On verra », réplique Ryem, ravi en tout cas que le tri puisse enfin débuter ici. Au lycée, c’est une action pédagogique, mais aussi économique. Plus il y a d’ordures, plus la taxe sur l’enlèvement des bennes est élevée. Pour le proviseur Régis Gallerand, en poste depuis septembre 2017, et son professeur, la présence de la taxe incite en tout cas à trier davantage. Les lycéens Thomas et Stefan sont en train de scotcher un papier sur l’une des nouvelles bennes jaunes à tri. Le premier y indique la consigne : « Papier uniquement ». « Tout le monde, note Thomas, doit respecter la règle. » Voire valoriser les déchets qui peuvent resservir. Papier uniquement dans la poubelle jaune Thomas et Stéfan veulent que les lycéens respectent la règle du tri. « Le cahier de brouillon écologique ? J’en ferai de la pub ! » Justement, en salle des profs, Ryem avait déposé un carton pour que ses collègues y glissent les imprimés usés, mais qu’on peut transformer en brouillon. Souvent, le recto a été utilisé, mais pas le verso. « C’est grave de gaspiller autant », glisse Hamedy, très sérieux. Avec les autres éco-délégués, il agrafe, durant la séance, des feuilles au format A4 autour d’une enveloppe kraft pliée en deux qui sert de couverture. Ce qui donne un cahier de brouillon 100 % écologique made in lycée Jacques Brel. « Je vais en faire de la pub », assure le lycéen, tout sourire. Son copain Stéfan réplique, un brin moqueur : « Mais c’est surtout pour que tu t’en serves. » Ryem et ses élèves fabriquent des cahiers de brouillon écologiques Ryem et ses élèves fabriquent des cahiers de brouillon écologiques À eux de le dire haut et fort, de sensibiliser… Ryem a suivi leur échange, amusé. Il est ravi de pouvoir compter sur leur motivation. Selon lui, l’idée de se rendre utile hors des cours leur plaît. Le professeur pense à organiser des jeux pour impliquer les lycéens et leur apprendre à ne plus se tromper de poubelle. Par exemple ? « Par exemple, on pourrait faire des jeux de lancers de boules. Celles et ceux qui parviennent à la lancer dans le bon panier gagnent un cahier écologique… » Work in progress. Bientôt une cafeteria au bahut Néanmoins, tout se met en place au fur et à mesure, souligne l’enseignant de SVT, avant de se tourner vers Hamedy, qui devait réfléchir au tri des piles usagées. « On peut prendre contact avec Screlec », l’organisme qui les récupère, chez les clients, dans des petits bacs en vue de les envoyer dans les centres adéquats de recyclage. « Monsieur, il suffit d’inscrire le lycée sur le site web pour démarrer un partenariat. » Ryem acquiesce, en souriant. Un peu plus tard, lui me raconte qu’un de ses collègues avait pensé à contacter Terracycle, qui récupère également les stylos usagés. Avant la fin de l’année, le projet est aussi de commencer à trier les biodéchets, comme l’impose désormais la loi. Selon Ryem, « cela se fera avant l’été, mais ça nécessite une formation en amont ». Et ce, car ce sont les élèves qui se chargeront de vider les assiettes et les plateaux repas dans les poubelles adéquates à la cantine. Ryem et ses éco-délégués ont d’ailleurs déjà prévu de récupérer une partie de ces biodéchets – par exemple, « les épluchures, mais pas les os de viande » – pour alimenter leur nouveau potager qui se trouve sur un banc de pelouse à l’extérieur du bahut. Au passage, le lycée a l’intention d’ouvrir une cafeteria, en plus du self – d’où l’intérêt de sensibiliser les élèves au tri des biodéchets ainsi qu’à la lutte contre le gaspillage alimentaire. Mais, ça, c’est une autre histoire, et j’y reviendrai.

Les élèves de l'école sensibilisés au tri

Sur une initiative de l'APE de Noizay, les élèves de l'école participent à une collecte de stylos et instruments d'écriture initiée par Terracycle et Bic afin de leur donner une seconde vie en les transformant en mobilier d'extérieur. En récompense de ses efforts, l'école récolte des fonds pour financer des sorties scolaires ou du matériel éducatif. Virginie Rocher, bénévole au sein de l'APE, se charge de coordonner cette collecte. « C'est un bon moyen de sensibiliser les élèves aux problématiques des déchets et à l'importance du recyclage », souligne-t-elle. Cette initiative s'inscrit dans un plus large projet mené par l'école de Noizay, pour une année placée sous le thème du recyclage et de la nature . En effet, les élèves collectent aussi d'autres types de déchets et sont parvenus à rassembler 14 kg d'emballage de biscuits, récoltant ainsi 70 €. Ils rassemblent également des bouchons pour l'association Les Petits Bouchons, qui a pour but d'aider à financer du matériel pour les personnes handicapées, et des cartouches d'imprimantes, qui sont rachetées par la société Madame Coccinelle. Par ailleurs, les habitants de Noizay et des alentours sont invités à venir déposer les déchets acceptés dans ces programmes à la mairie de Noizay du lundi au vendredi matin de 8h 30 à 12h 30, le lundi après-midi de 15h à 18h 30 et le mercredi et vendredi après-midi de 14h à 16h. ape.noizay@gmail.com

TEST / CONCOURS - LES GOURDES RÉUTILISABLES SQUIZ

A toutes les mamans et à tous les papas adeptes des compotes et des purées maison pour leur petits loups, on a testé la gourde qu'il vous faut ! Ça fait un peu plus d'un mois qu'on les utilise et elles sont tellement chouettes que je me suis associée à la marque pour faire gagner 2 modèles à l'un ou l'une d'entre vous ! Mais d'abord, petite présentation des Squiz ! Les Squiz sont des gourdes réutilisables. Elles disposent d'une fermeture sécurisée et peuvent être équipées d'un bouchon anti-débordement qui permet aux tout-petits de les utiliser sans risque de "splash" entre le moment où vous lui tendez sa gourde et celui où elle arrive enfin dans sa bouche ! POURQUOI C'EST MIEUX QU'UNE GOURDE TRADITIONNELLE ? PRATIQUE & JOLI En plus de conserver l'aspect pratique de la gourde jetable, les designs sont variés et assez adorables #groscrushpourlacollectionsophielagirafe. Il y a même des looks pour les adultes et les ados ! MOINS DE DÉCHETS Certains d'entre vous vont me rétorquer que les gourdes traditionnelles peuvent être recyclées, notamment au moyen du programme de collecte Terracycle. D'abord, tout le monde n'a pas accès au bornes de collecte et il s'avère que Terracycle se contente de stocker les gourdes collectées dans l'attente du jour où l'on pourra les recycler... Pas génial ! Certes, la squiz finira aussi à la poubelle en fin de vie. Mais entre temps c'est au minimum 50 gourdes que vous aurez évité de jeter ! ECONOMIQUE Avez-vous déjà regardé le prix au kilo du contenu d'un paquet de gourdes de compote ? Chez Pom'potes par exemple, on est aux alentours de 5€/kg de compote de pommes bio (sachant que la même compote vendue en bocal en verre juste à côté est à 1,30€/kg). Pour certaines marques "huppées" (type popote ou good'gout) on peut monter jusqu'à 11,83€ le kilo (toujours pour de la pomme bio). Bref, que vous achetiez un gros bocal de compote à répartir dans les gourdes ou que vous les fassiez vous-mêmes, vous êtes gagnants à chaque fois. SAIN & VARIÉ Dans vos recettes, pas de conservateurs, pas de sucres ajoutés et aucun risque de cochonneries industrielles. En plus, à l'exception de certaines marque trendy, les parfums des gourdes industrielles sont toujours les mêmes ! A vous de faire varier les plaisirs :) On a même testé le yaourt (vegan coco) et le smoothie à l'intérieur des Squiz sans aucun problème. ECO-CONÇU & SOCIALEMENT RESPONSABLE Au-delà de tous les aspects positifs énoncés précédemment, c'est surtout l'histoire des squiz qui m'a touchée et m'a poussée à choisir cette marque de gourdes réutilisables plutôt qu'une autre. Les gourdes sont fabriquées en Suisse à base de matériaux 100% européens et emballées dans les Yvelines dans un établissement d'insertion par le travail pour personnes handicapées (ESAT). L'entreprise Squiz soutient plusieurs associations et a reçu la certification B-corp en septembre 2017. (B-corp est aux entreprises ce que le label Fair Trade est aux les vendeurs de café par exemple). LAVE-VAISSELLE & MICRO-ONDES Même si c'est déconseillé (si vous voulez qu'elles durent plus longtemps), vous pouvez passer vos squiz au lave-vaiselle (panier du haut) et micro-onde (ouverte et dans un bol). Sinon pour les nettoyer, je vous conseille de le faire le jour-même. Un peu d'eau savonneuse dans la gourde, on secoue et quelques aller-retour de goupillon pour être sûrs que ça soit bien propre. PS : à tous les récalcitrants de la vaisselle / du fait-maison qui arguent que ça va leur prendre plus de temps, un ou deux éléments de plus à laver par jour ce n'est pas la mort ! Et si on additionne le temps des aller-retours jusqu'au supermarché dans la zone commerciale, le temps d'attente à la caisse, le fait de mettre la gourde à la poubelle, de sortir ladite poubelle, de remettre un sac pour accueillir les futures pom'potes, etc. (sans même parler du coût global de l'opération !) dites-vous que vous seriez bien plus tranquilles dans votre cuisine à laver et réutiliser votre squiz ;) ET POUR LES REMPLIR ? J'ai eu un peu de mal la première fois avec ma cuillère à soupe , mais avec une petite louche à bec c'est facile et sans bavure ! Alors convaincus ? Si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas à les poser en commentaires ou allez visiter le site https://www.squiz.co/fr CONCOURS Vous voulez tenter de remporter un lot de deux squiz, rendez-vous sur la page facebook @simplyseube ou sur mon compte instagram @zerowastefrenchies !