TERRACYCLE NEWS

ELIMINATING THE IDEA OF WASTE®

Posts with term TerraCycle X

Bic Ubiquity : une démarche de recyclage bien assise

Les instruments d’écriture ne faisant partie d’aucune filière de recyclage organisée, le groupe Bic s’est inscrit dans une logique d’économie circulaire afin de collecter et recycler les stylos usagés avant de les transformer en mobilier urbain. En 2011 arrivait sur le marché européen la société américaine de recyclage Terra Cycle avec une solution de collecte sur les points de consommation comme les écoles, les associations et les bureaux. La même année, en partenariat avec cette société, Bic a décidé de collecter les instruments d’écriture, toutes marques confondues, en France et dans six autres pays d’Europe, afin de les recycler. « Nous pressentions que ce nouveau geste de tri répondait à des besoins des consommateurs », souligne Bénédicte Cusinberche, Directrice Business Development pour Bic Europe. « Terra Cycle collecte, broie et revend la matière recyclée mais nous souhaitions aller plus loin en transformant les vieux stylos en d’autres produits pour lesquels le plastique recyclé avait du sens. » Le mobilier urbain est alors apparu comme l’application la plus appropriée : l’utilisation du plastique recyclé permet une réduction de l’empreinte carbone de 30 %. Il est durable et est garanti dix ans sans entretien. De plus, les bancs et autres produits de mobilier urbain fabriqués avec cette matière – appelés UbiquityTM – remplissent parfaitement les besoins des collectivités locales et des écoles : ils sont extrêmement solides, imputrescibles, anti-graffitis, ils résistent aux UV, ne se fendent pas et sont recyclables. Enfin, leur couleur grise issue des instruments d’écriture broyés s’avère plutôt esthétique et même tendance. 60 % des stylos recyclés proviennent des écoles. Ces dernières retrouvent ainsi le fruit de la collecte dans la ville mais aussi dans les cours d’école. Plusieurs acteurs du recyclage La filière s’organise de la manière suivante : Terra Cycle met à disposition un site Internet et toute la logistique en lien avec la collecte. Un transporteur vient chercher les cartons étiquetés contenant les stylos usagés, et les emporte dans un entrepôt lillois où ils sont pesés. A partir de 20 kg, Bic fait une donation de 1 € le kilo pour remercier l’école ou l’association qui a joué le jeu. Ensuite un recycleur broie et trie les matières et les envoie à Govaplast sous forme de pellets ou de paillettes. Govaplast en fait des planches en plastique recyclé, qui sont ensuite envoyées à la société Plas Eco, spécialisée dans le mobilier urbain en plastique recyclé. C’est Plas Eco qui conçoit, fabrique, distribue et commercialise les produits de la gamme UbiquityTM. « Cela permet de redonner de la valeur aux déchets et de répartir la valeur retrouvée », souligne Bénédicte Cusinberche. « Bic perçoit un pourcentage sur la vente de mobilier, qui sert à financer la collecte. » Une gamme de sept produits UbiquityTM est en vente depuis début octobre 2017 auprès de Plas Eco. La gamme est constituée de banquettes pour collégiens et lycéens, de bancs d’école, de jardinets pédagogiques à destination des écoles, de tables de pique-nique, de tours d’arbres pour s’asseoir tout en protégeant l’arbre et d’assis-debout pour collégiens et lycéens. Une plaque explicative est apposée sur chaque modèle. Pour l’instant, Bic collecte de quoi fabriquer chaque année de manière récurrente environ 500 grandes tables de pique-nique ou 2000 bancs

Saviez-vous que vos stylos peuvent être recyclés en table à pique-nique ?

Ne jetez plus vos stylos, ni même vos tubes de colle, règles en plastiques et autres « instruments d’écriture » usagés, ils peuvent être transformés en tables de pique-nique (16 300 stylos), bancs (4 200 stylos), ou encore en jardinets pédagogiques (7 500 stylos). L’initiative est née il y a un peu plus d’un an, de la rencontre entre BIC et Plas Eco, spécialisée dans la conception, la fabrication et la distribution de mobilier urbain. Une gamme de sept modèles baptisée Ubicuité. « Les instruments d’écriture ne faisant partie d’aucune filière de recyclage organisée, le groupe BIC a souhaité s’inscrire dans une logique d’économie circulaire et aller au-delà des efforts de collecte déjà réalisés. C’est un engagement fort pour BIC qui prend l’initiative de créer la première filière de recyclage de stylos usagés en France», déclarait Marie-Aimée BICH-DUFOUR, Directeur Général Délégué du Groupe, au moment du lancement du projet. 238 points de collecte en Bretagne Tout en amont de cette filière, la collecte du matériel usagé est assurée par TerraCycle qui depuis 2011 a mis en place tout un réseau de récupération. Plus de 4 100 points de collectes partout en France, 238 en Bretagne, parmi lesquels beaucoup d’établissements scolaires. À Etel, l’école de la Barre était déjà sensibilisée à la question du recyclage. Avant les stylos, le papier et les piles usagées étaient récupérés par ses 120 enfants. « Dans chaque classe, il y a une poubelle, explique la directrice, Véronique Belz. De de temps en temps un élève les rassemble, on a également fait appel aux parents et à nos partenaires comme la mairie pour qu’ils nous donnent leurs crayons usagés. Il faut au moins 20 kilos pour faire un envoi. Dès qu’on en a assez, un transporteur vient les récupérer. C’est facile et très bien organisé. » Et cela peut rapporter… 1 centime d’euro pour chaque instrument d’écriture récupéré, reversé à une association, ou à une école. Depuis le début du programme, plus de 13 millions de stylos et instruments d’écriture ont pu être recyclés en France, et plus de 210 000 € de dons ont pu être distribués. Des chiffres à rapprocher aux 25 millions de stylos, briquets et rasoirs vendus chaque année par le numéro 1 mondial du jetable.

Pourquoi la France et l’Australie s’apprêtent à crouler sous les détritus

Depuis le 1er janvier, la Chine a mis fin à toutes les importations sur son sol de plus d’une vingtaine de catégories de déchets, conformément à l’annonce faite en juillet dernier par les autorités chinoises. La mesure, explosive, suscite l’inquiétude en France comme en Australie, qui exportent chaque année des milliers de tonnes de détritus vers la Chine. Vous êtes-vous déjà demandés où finissaient cette bouteille en plastique ou ce vieux CD jetés négligemment à la poubelle ? Que vous habitiez en France ou en Australie, la réponse a de fortes chances de se situer quelque part en Chine. Depuis le début des années 2000, l’empire du Milieu s’est en effet imposé comme le plus gros importateur et recycleur mondial de déchets plastiques, métalliques et cartons. En 2015, le pays avait ainsi importé près de 50 millions de tonnes de déchets, destinés principalement à être recyclés en matières premières pour son industrie, soit plus d’un quart de l’ensemble des déchets recyclables exportés au monde. On comprend ainsi mieux pourquoi l’annonce faite par les autorités chinoises de l’environnement d’interdire l’importation de 24 types de déchets a pu faire l’effet d’une bombe. Si les détails exacts de l’interdiction ne sont pas encore connus, l’idée est pour la Chine de restreindre ses importations aux seuls détritus contenant des taux minimums de polluants. Pour le ministère de l’Environnement chinois, l’objectif affiché est de « protéger les intérêts environnementaux de la Chine et la santé des personnes ». Autrement dit, il s’agit de lutter contre la pollution qui empoisonne le pays, en privilégiant notamment le recyclage de ses propres déchets domestiques, qui finissent pour l’instant à l’incinérateur ou en décharges. Impact mondial En France, les réactions des professionnels du recyclage ne se sont pas fait attendre. « L’impact de cette décision est mondial et a des conséquences en Europe et dans tous les pays exportateurs de ces matières », explique ainsi la Federec (Fédération Professionnelle des Entreprises du Recyclage) dans un communiqué émis fin juillet. D’après l’organisation, les stocks de déchets dans l’Hexagone seraient d’ores et déjà en train d’augmenter, dès lors que « la capacité des autres usines mondiales n’est pas en mesure à ce jour de consommer les volumes aujourd’hui importés par la Chine ». Même son de cloche en Australie, où plus de 600 000 tonnes de déchets pourraient être impactés par la décision chinoise. Tom Szaky, de la compagnie de recyclage TerraCycle, expliquait ainsi le 5 janvier dernier au Daily Telegraph à quel point les effets de la mesure pourraient s’avérer « dévastateurs » pour l’industrie du recyclage australienne. « Trouver des alternatives à court terme va représenter un véritable défi », explique-t-il. « C’est la nature même de l’industrie du recyclage qui risque de changer ». Différents scénarios possibles Difficile toutefois de prévoir avec certitude les effets exacts que va produire l’interdiction chinoise dans les deux pays. D’après la revue Alternatives économiques, le premier scénario envisagé par les spécialistes est que la mesure oblige la France et l’Australie – de même que tous les autres pays développés – à trier davantage leurs déchets. Ce faisant, ils pourraient ainsi continuer leurs exportations vers la Chine, en respectant les niveaux de pollution des déchets exigés par celle-ci. Prometteuse d’un point de vue écologique, cette hypothèse n’est toutefois pas la plus probable. L’interdiction chinoise d’importation de déchets recyclables est en effet bien plus susceptible de pousser d’autres pays en développement à développer leur propre filière de recyclage, pour prendre la place de la Chine en acceptant les déchets pollués et polluants dont elle ne veut plus. Affaire à suivre…

Au BeeoTop, le mégot devient matière première

À gauche de la porte tambour du BeeoTop, un drôle de bidule attire les fumeurs comme un aimant. C’est un Cy-Clopeur, un cendrier spécialement conçu pour collecter et recycler les mégots. On ne le sait pas assez, mais le mégot est le déchet le plus jeté dans le monde : rien qu’en France, 70 milliards de mégots finiraient par terre chaque année. Une entreprise de 250 salariés produit 250 000 mégots par an. Il est aussi très polluant. Composé de plastique et chargé de produits toxiques, un seul mégot met une douzaine d’années à disparaître. Pendant ce temps, il aura pollué un litre d’eau douce, et entre 300 et 500 litres d’eau potable. Sans oublier qu’un mégot mal éteint peut provoquer des feux de forêt. En lançant Cy-Clope, Antoine Di Tommaso et Thibault Legrand, deux anciens étudiants de l’EM Lyon et de Centrale Lyon, ont voulu créer la première filière de gestion de ce type de déchet. Leur innovation n’est pas tant le recyclage du filtre, un procédé qui existe depuis longtemps, que l’organisation de la filière en optimisant la collecte. Ils ont donc mis au point un mobilier au design très soigné et aux couleurs vives : le Cy-Clopeur. Cet objet fixé au sol peut contenir 10000 mégots dans un volume de vingt litres environ. Il est fabriqué en acier, le matériau le plus recyclé, et résiste à la fois aux intempéries et aux incendies. Du mégot à l’objet Régulièrement, les équipes de Cy-Clope le vident de ses mégots, qu’elles envoient à l’usine de TerraCycle, à Mende en Lozère, une entreprise spécialisée dans les déchets difficilement recyclables. Là-bas, le tabac et les cendres sont compostés, et le filtre, en acétate de cellulose, est transformé en plastique qui peut servir de plaque d’isolation, de poubelle, de mobilier d’extérieur, etc. Les Cy-Clopeurs sont proposés en location aux entreprises, après un diagnostic de leurs besoins. Cy-Clope envoie aussi un reporting aux entreprises locataires, qui peuvent l’utiliser dans leur bilan RSE. En février 2017, plus de 130 000 Cy-Clopeurs étaient installés en France et vidés une fois par mois. Parmi les entreprises qui l’ont adopté : Eiffage, SNCF, Safran, Médiamétrie, les Galeries Lafayette, et donc aussi le BeeoTop

Caso: “TerraCycle”

TerraCycle es una innovadora empresa de reciclaje que se ha convertido en un líder mundial en el reciclaje y difíciles de reciclar los residuos.

1.¿Qué tipo de producto de consumo es el abono para plantas Terracycle: de conveniencia, buscado, de especialidad o no buscados? ¿Por qué? Es un producto no buscado, porque los consumidores no sabe que existe en el mercado 2. Describa la mezcla del producto. ¿Que tan amplia es? ¿Que lineas de producción básicos vende?Que tan largas son? 3. ¿considera que la extensión o la contracción de la línea de productos tendría más sentido para terracycle en esta etapa de crecimiento de la empresa? ¿por qué? ¿Cuál es el desempeño de las botellas de Terracycle en cuanto a las cuatro funciones del empaque que estudiamos en este capítulo? Compare los productos de Terracycle con los de miracle-go (www.scolts.com). ¿cree que el diseño del empaque de Terracycle hace que sus productos destaquen lo suficiente de aquellos del gigante de la industria o son tan similares que podría confundir a los clientes? Es probable que la imagen de una empresa sea más llamativa que la otra. Sin embargo, la calidad del producto y su precio también son muy relevantes. Cada una de las compañías tiene su público y clientes a los que están dirigidas las ventas. Si es cierto que la presentación, la imagen y el diseño del producto afecten en la decisión de compra del consumidor. Caso de Estudio: TERRACYCLE La mezcla de productos de la empresa tiene una alta gama de productos los cuales son MUY útiles. En cuanto a la amplitud de la Linea; es demasiada amplia ya que tienen distintos productos los cuales logran satisfacer las necesidades de las personas. Venden lineas como: Hogar, escuela, oficinas, juguetes, mochilas, bolsas, Soluciones de limpieza, fertilizantes, exteriores, jardinería, regalos, algún otro. EN CUANTO AL LARGO DE LA LINEA: Algunas son extensas como las mochilas que son más o menos 50 productos y otras son cortas como los productos para mascotas que son un producto. YESENIA HAXEL JULIO CHISTIAN