Le Principe

"Terracyle rend les déchets non recyclables, recyclables à l'échelle nationale." Depuis 2011, la société TerraCycle offre la possibilité de recycler des produits qui ne peuvent pas l'être, à l'origine, en les détournant de la mise en décharge ou de l'incinération.

Comment faire ?

1. Inscrivez-vous sur le site www.terracycle.fr et sélectionnez le type de déchets que vous souhaitez collecter au sein de votre entreprise ou collectivité 2. Commencez votre collecte de déchets dans une boîte, peu importe sa dimension. Une fois qu'elle est pleine, téléchargez sur le site une étiquette de transport gratuit et envoyez votre colis à TerraCycle. 3. TerraCycle convertie ensuite votre unité de déchets en points qui seront convertibles en dons au profit d'une association de votre choix ou d'une partenaire de TerraCycle (Elevages sans Frontières, Aides et Actions et Le Rire Médecin).

Que deviennent ces déchets ?

Les déchets collectés sont ensuite réutilisés, recyclés ou upcyclés en nouveaux produits respectueux de l'environnement. Cela réduit ainsi le besoin en matières premières vierges et les émissions de carbone sont moindres lors de la transformation. En plus de faire un geste pour l'écologie et notre planète, le principe de points TerraCycles transformés en dons permettent aussi de faire une belle action en faveur de ceux qui en ont besoin. A noter :

• Les collectes peuvent également se faire dans des lieux publiques, donc les particuliers peuvent aussi rejoindre la communauté TerraCycle.
• La communication est la clé de la réussite des projets, pensez à en parler à vos collègues, à votre direction ou à vos proches.

L'équipe Direct-Fournitures.fr remercie BIC France pour leur avoir fait découvrir ce bel engagement environnemental.

A l'entrée de l'école de Bedous près du portail, un drôle de container a fait son apparition.

• Appel à recycler pour une opération solidaire avec l'école : l'association de parents d'élèves lance l'opération "gourde", comprendre ces petites gourdes de compotes ou autres desserts qui font le bonheur des petits.
• Et qui peuvent apporter quelques financements pour les sorties, voyages et petits équipements de l'école.

L'association a passé une convention avec Terracycle. Localement elle se charge de la collecte, et par colis de 20 kgs, elle les envoie à Terracycle qui prend en charge le coût du transport et reverse un financement par gourde collectée. Un second container va être prochainement positionné pour recevoir tous les instruments d'écriture (stylos, feutres, surligneurs, porte-mines, tous types de correcteurs, stylos-plumes) sauf les crayons papier. Environ 20 € par kilo de stylos seront reversés à l'association. Un second point de collecte est positionné à Intermarché à Accous,  mais aussi très prochainement au Centre Leclerc d'Oloron. Recyclage ciblé et financement indirect solidaire, alors plus une seule gourde compote, ni un seul stylo hors d'usage dans la poubelle ! Information sur le site : www.terracycle.fr

Le "magnat des ordures"

En 2001, Tom Szaky abandonne l’université en première année. Huit ans plus tard, la chaîne National Geographic lui consacre un documentaire appelé "le magnat des ordures". Lui préfère le terme "éco-capitaliste". Sur les bancs de Princeton, Tom s’ennuie. Il plaque tout pour investir ses économies et celles de ses proches dans des centaines de milliers de vers de terre dont il recycle les déjections en compost. Il vient de fonder TerraCycle, qui n’est alors "que la petite startup d’un idéaliste qui espère changer le monde", souligne le magazine Business Insider. . Pour le conditionnement, il récupère des bouteilles en plastique jetées dans la nature. Peu à peu, le nombre de lombrics augmente et Tom fait appel à des "brigades de ramassage" pour collecter les bouteilles. Il parvient à convaincre les grands industriels des sodas de lui laisser utiliser leurs bouteilles usagées. Pendant ce temps, il participe à des concours en espérant recevoir des bourses. Il va obtenir bien plus que ça : la notoriété, quand il décline un prix d’un million de dollars qui ne lui sera alloué que s’il change son mode de production. Quelques mois plus tard, il commercialise ses engrais dans des grandes chaines. Il se lance alors dans l’upcycling, la fabrication d’objets à partir de produits destinés à partir à la poubelle. Son entreprise récupère les déchets collectés par des écoles, des congrégations ou des associations et les transforme en nouveaux produits destinés à être vendus. Pour chaque canette ou emballage recyclé, une partie des bénéfices est redistribuée à des œuvres de charité. En deux ans, il a signé deux millions de dollars de chèques à des associations.

Des projets qui nécessitent des financements, notamment apportés par le festival, mais pas que. Ainsi, le SITDOM a remis hier soir via son président Jérôme Talon un chèque de 585 euros équivalent à l’opération de collecte et de recyclage des gourdes de compote lancées dans plusieurs écoles de l’agglo par Peuples Solidaires. Une opération qui se développe, puisqu’elle sera élargie aux écoles primaires de Bagnols cette année.

Rien ne se perd à l’intercommunalité. Un point de collecte a été installé pour les capsules de café. Explications: À l’origine, un constat simple : « C’est fou d’avoir autant de déchets juste en buvant un café !» Linda Coureux, Laféroise, avait alors reçu en 2012, à Noël, une cafetière. Plus précisément une Tassimo qui fonctionne avec des capsules. Sauf que celles-ci ne sont pas reprises dans le cadre du recyclage par les collectivités. Linda Coureux se renseigne donc sur le site de la société productrice. Et y découvre Terracycle, « une entreprise spécialiste dans le recyclage de matières non recyclées », indique cette dernière. Aujourd’hui, elle compte « trois brigades » principales, dont une dédiée aux Tassimo. La société récupère les capsules qui se « décomposent en plusieurs parties ». Matières organiques, aluminium et plastique sont ainsi triés et séparés pour leur donner une nouvelle vie. « Après, on perd en termes de masse, temporise la société. Sur 1 tonne collectée, on ne récupère pas 1 tonne de matière. » « Au départ, je le faisais à titre personnel », poursuit Linda Coureux, sa famille étant consommatrice des fameux « T discs ». Puis, « à un moment donné », Terracycle a «souhaité qu’on soit un point de collecte », d’où la nécessité de trouver un lieu autre que son domicile. Travaillant aux Villes d’Oyse en tant que coordinatrice TIC (Technologie de l’information et de la communication), la Laféroise fait la demande auprès de la collectivité. Depuis quelques mois donc, un nouveau carton a fait son apparition à la communauté de communes – à côté de ceux dédiés aux piles et aux bouchons. Et un peu d’écriture L’envoi de la collecte, lui, est pris entièrement en charge par Terracycle, qui « préconise des colis de 30 kg ». Le dernier en date a permis ainsi de « créditer le compte d’environ 10 € », précise Linda Coureux. Car la société reverse une certaine somme, en fonction du tonnage reçu, à une association. La coordinatrice a ainsi choisi de contribuer aux finances du comité des œuvres sociales (COS). De la même manière, une boîte a été installée pour recueillir les instruments d’écriture (stylos, surligneurs, etc.), toujours dans l’optique d’être recyclés. Mais celui-ci a davantage de mal à se remplir. Un appel est donc lancé, notamment auprès des écoles qui peuvent être fournies en la matière.

Depuis 2011, en partenariat avec la société Terracycle™, spécialisée dans la création de filières de recyclage, BIC a mis sur pied un PROGRAMME DE COLLECTE ET DE RECYCLAGE DES INSTRUMENTS D’ÉCRITURE. L’idée est simple : les utilisateurs, sur leurs lieux de consommation (écoles, entreprises, collectivités), organisent la récupération des instruments d’écriture (toutes marques confondues) et ceux-ci sont ensuite recyclés en pots à crayon, corbeilles à papier, bancs, arrosoirs… Pour récompenser ce geste écocitoyen, BIC s’est engagé à verser 2 centimes, par instrument récupéré, à une association choisie par l’organisateur de la collecte ou, dans le cas d’un établissement scolaire, directement à l’école afin de financer des projets pédagogiques. Un bon outil pour animer une classe. BIC a mis au point, en partenariat avec ­­ TERRA PROJECT, UN CD INTERACTIF SUR LE THÈME DES DÉCHETS, afin de sensibiliser les enfants à cet aspect primordial du développement durable. Celui-ci aborde les déchets rejetés, leur dégradation dans la nature, leur tri, leur recyclage, le suremballage et la sur­ consommation, etc. Le tout sous forme de petits jeux interactifs. Le contenu du CD est disponible en ligne sur : www.education-developpement-durable-primaire.fr ; www. terracycle.fr/fr/brigades/brigade-des-instruments-decriture.html

Emballages en plastique, verre et métal, papiers usagers, encombrants ou encore mégots de cigarette, tel est l'inventaire à la Prévert des principaux déchets collectés lors des journées de ramassage, les Mountain Days 2014. Leur tonnage s'élève à 93 tonnes, soit 20 tonnes de plus que le précédent record en 2010. Cette augmentation sensible s'explique par un nombre plus important de spots ramassés cette année, 110 contre 61 en 2013, et 7300 volontaires. C'est grâce au nouveau collectif mis en place cette année, qu'une telle force de frappe a pu être déployée sur le terrain. Les Mountain Days, parrainés cette année par des sportifs comme Liv Sansoz, Julien Lizeroux, Marion Haerty ou Paul Delerue, sont désormais portés par un collectif tripartite, réunissant les partenaires financiers (représentés par le Conseil général des Hautes-Alpes), les partenaires techniques (TerraCycle et Green Trek), et les partenaires organisateurs (Mountain Riders, Mountain Bike Foundation, Bioskieur, Respect the Mountains), auxquels se joignent la Fondation Nicolas Hulot et J'agis pour la Nature.

Elles arrivent en déchèterie ! En quelques années seulement, elles se sont imposées comme le gouter de référence : pratiques, légères, ergonomiques et parfois ludiques, les gourdes de compotes, style pom’pote se cachent dans toutes les poches. Jusqu’à présent non recyclable, cet emballage encombre largement la poubelle des ordures ménagères ou se retrouvent par erreur dans les colonnes d’emballages. L’entreprise Terracycle, en partenariat avec Materne, a développé le recyclage de ces gourdes. Consciente de l’impact de ces emballages non recyclés sur l’environnement, la Copler a décidé de participer à l’opération. Désormais, les déchèteries de Matard et Régny auront des bacs pour collecter ces fameuses gourdes de compote de toutes marques ainsi que les gourdes de yaourt. Attention, ces emballages ne sont acceptés que dans les déchèteries et non dans les points-tri.

Terracycle ! Collecte de stylos éco-responsable et solidaire !

TerraCycle crée des programmes de collecte de déchets auparavant non ou difficilement recyclables. Les déchets collectés sont transformés en nouveaux produits comme par exemple des bancs publics ou des sac-à-dos. Caritas Alsace s’inscrit dans cette démarche TerraCycle en organisant la collecte d’instruments d’écriture usagés. Participer à ce programme présente plusieurs intérêts : - Un intérêt écologique : les déchets collectés par TerraCycle seront recyclés en nouveaux produits au lieu de finir dans les décharges ou centre d’incinération. - Un intérêt financier : en contrepartie de la collecte de stylos, des points puis des euros seront reversés par TerraCycle au profit de Caritas et du projet de tourisme social et solidaire Air et Vie. Chaque stylo rapporte en moyenne 2 points soient 0,02 cents. - Un intérêt de communication : proposer la collecte à des entreprises, des écoles… au profit de Caritas Alsace permet de parler de nos actions, nous faire connaître, et pourquoi pas susciter d’autres types de partenariats ou soutiens. Pour participer, il suffit de contacter son animateur pour récupérer un kit de visuels pour habiller votre boîte et de la fabriquer. L’objectif visé pour les équipes est de 7 kilos. L’objectif de Caritas Alsace est une tonne d’ici la journée diocésaine du 17 mai 2014. NB : les instruments d’écriture qui peuvent être collectés sont les stylos à bille, feutres, porte-mines, effaceurs, marqueurs, surligneurs, correcteurs en tube ou en souris peu importe leur marque ou leur matière. Tous à l’exception des crayons de papier.

La commune vous propose de récupérer vos stylos usagés (stylos bille, feutres, surligneurs, marqueurs... mais aussi porte-mines, et correcteurs) par l'intermédiaire du programme TERRACYCLE ; les articles récoltés seront ainsi recyclés. Pour chaque stylo collecté, 2 centimes d'euros seront reversés à l'Association des Amis des Ecoles Publiques de NOVALAISE. Vous pouvez les déposer dans le carton prévu à cet effet dans le hall de la mairie.