Le rapport d’une ONG environnementale fait un constat quant aux mégots de cigarettes usagés, par le biais d’une collecte internationale de déchets réunissant plusieurs pays du globe. Entre alternatives de recyclage et méthodes répressives, le mégot de cigarette suscite attention et inquiétude.

Créée en 2001, l’entreprise TerraCycle propose aux entreprises des programmes de collecte d’emballages non recyclables et de produits usagés. Ce sont plus de  90 millions de personnes qui envoient leurs déchets à cette entreprise leader dans le domaine du développement durable.

Dans mon message "la gestion des déchets chez moi", je vous ai parlé de l'entreprise TerraCycle. Voici un message vous expliquant le but de cette entreprise, à quoi elle sert et ce qu'elle fait.

Lancée en 2011, l'entreprise brestoise Eco Action Plus propose depuis un mois un nouveau service pour trier les mégots de cigarettes. Basée dans la Zone industrielle du Buis, la société va déménager en juin à Bourg-Blanc. « Chaque année, 4.500 milliards de mégots sont jetés par an dans le monde, dont 30 milliards uniquement en France. C’est le déchet le plus jeté au monde et aujourd’hui, seuls 0,005 % de ces mégots sont collectés ». Partant de ce constat, Bastien Lucas, gérant de la société brestoise Eco Action Plus, a lancé il y a un mois un nouveau service, Recyclopes.

Bourg en Bresse Agglomération collecte tous les stylos bille, feutres, surligneurs, marqueurs, porte-mines, correcteurs, stylos plume et cartouches d'encre usagés pour les recycler en nouveaux produits : pots à crayons, arrosoirs... par l'intermédiaire de Terracycle, qui s'engage à reverser 0.02 € par instrument d'écriture à une association.

Vendredi 15 mai et lundi 18 mai, les associations Courage Aqta et Les lucioles de Belz sont intervenues dans les écoles Notre-Dame des Fleurs et Hugues Aufray pour « des actions de sensibilisation, sous l'impulsion de la municipalité, dans le cadre de l'agenda 21 », a expliqué Dominique Laville, directrice de l'école Hugues Aufray.

Un Français consomme chaque année, en moyenne, 8,6 kg de biscuits et pâtisseries industrielles. Un million de tonnes d’emballages est ainsi mis sur le marché. Problème en fin de vie : alors que les composants en papier et carton peuvent être recyclés grâce à une filière bien structurée, tant que les consignes de tri des plastiques ne sont pas généralisées, il n’existe pas de solution pour les sachets, films et barquettes, qui finissent donc dans les incinérateurs ou les centres d’enfouissement.

Produire, acheter, jeter. Ce processus de consommation courante est de plus en plus remis en question. L’heure est au réemploi et la tendance à l’upcycling. « Rien ne se perd, tout se transforme. » On connaît l’adage. Et le recyclage. Un principe loin d’être neuf. L’upcycling, c’est un peu plus que ça.

Bien sûr, il serait sans doute encore plus écolo de ne jamais acheter de compotes en gourdes... mais c'est parfois bien pratique! Et grâce à Céline et à ses belles trousses de toilettes, je garde précieusement depuis quelque temps les gourdes de compotes vides!

La petite mais néanmoins active association des Bébés Breizh s'est lancée dans une collecte de déchets. Elle cherche aussi à ouvrir une MAM à Ménéac, avec une ou deux autres assistantes maternelles.